mercredi 5 octobre 2011

Les pauvres paieront. part.1

Les banques sont-elles encore les dépositaires de notre sécurité financière?
Les monstrueuses sociétés multi-internationales sont-elles encore les garantes de notre santé économique?

A mon humble avis elles sont devenues, autant les unes que les autres, de véritables gouffres à milliards de milliards, qui parient sur nos salaires, spéculent sur nos fortunes et hypothèquent nos retraites. Le tout en maintenant la croissance de la destruction de notre environnement.

Au final, ces institutions anthropophages feraient mieux de disparaître... tout comme leurs partisans-laquais qui prônent, et revendiquent, une liberté de commerce à tous venant, une liberté de croissance, une liberté de surconsommation, la liberté de spéculer de ruiner et de foutre les petites gens au chômage.
Le tout assaisonné d'une bonne couche d'individualisme. Un individualisme excessif et malsain.

Tous les partis néolibérals réclament plus de "droits" pour la réalisation de leurs fantasmes "libertaires" (et pourquoi pas liberticide) tout en voulant restreindre le champ d'action de l'Etat social.
Un peuple sous assistance, est un peuple qui ne travaille pas. Donc n'est pas rentable.
Ma foi, c'est vrai...

Cependant ces mêmes partis, à l'esprit d'ouverture egonomiquement centré sur leur bourillon, créent  chômage et chômeurs indigènes quand ils implantent des entreprises-sociétés d'expatriés; ces mêmes partis, qui valorisent la réalisation personnelle et individuelle, ont besoin du gouvernement pour entériner leurs petites magouilles; ces mêmes partis, qui stigmatisent les assistés sociaux, ne se gênent pas de recourir à l'Etat providence, quand il s'agit de renflouer leurs fonds de commerces mis à mal par l'on ne sait quelles malversations financières...

Une industrie, une institution, une société sous assistance, ma foi, n'est pas rentable.
Ce qui valable pour les uns, devrait l'être pour les autres. Non..?

NEMo

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