mercredi 28 septembre 2011

L'argent, et la tête, dans les étoiles.

Y aurait un petit projet de conquête spatiale orienté sur Mars. Un truc de Ouf qui doit bien coûter de quoi nourrir notre planète pendant quelques années...
Mais comme la présence d'eau sur Mars est de plus en plus certaine, et que la planète rouge n'est pas si loin de nous, beaucoup d'espoirs, et de rêves fous, naissent dans d'ingénieux esprits avant de s'étaler sur "papier".

Parmi les "projets" visant à rendre Mars habitable pour nous autres petits terriens, il y en a un qui se nomme: "Terraformation". Ou comment créer une "atmosphère" sur Mars.

La Nature a mis des millions d'années pour créer un environnement "viable", Dieu a mis quelques jours, Le conglomérat international qui financera l'aventure et la NASA nous le feront en 48 heures.
La Terraformation passant par un "réchauffement climatique" et une production de "gaz à effet de serre", notre grande expérience en destruction de l'environnement, devrait grandement pouvoir nous aider...

Si le projet martien devait tomber à l'eau parce que jugé "trop cher", il y a une cinquantaine d'exoplanète, gravitant autour d'étoiles semblables à notre Soleil, qui excite et intéresse astronomes et astrophysiciens de tous poils. Ben oui, il y aurait dans le lot: 16 super-Terres...!

Ouf, quel soulagement... Nous pouvons donc continuer à tout foutre en l'air, sans remords ni répits, sur celle qui supporte.
Il y en a seize autres qui nous attendent avec toutes leurs richesses, leurs arbres, leurs gisements... D'ailleurs , la préloc des billets du "Voyage" aura lieu dans les points de ventes habituels...

Mis à part ça, faut leur dire "chapeau" aux types de la NASA, et autres scruteurs du vaste vide. Dénicher 50 exoplanètes à des distances pareilles, c'est une sorte d'exploit quand on sait que la NASA n'est pas foutue de nous dire "OÙ", un de leurs satellites (américain) va se crasher sur Terre.

C'est peut-être une sorte de "qualité" américaine, que de ne pas savoir ce qu'ils font de leurs matos...
Ils espionnent tous le monde, imposent à la planète leur monnaie et leurs modes de vies, et tapent sur la tête de ceux qui ne filent pas droit. Par contre pour savoir ce que deviennent leurs matériels nucléaires, vendus à l'étranger, et à quelles fins ils sont réutilisés, c'est un petit peu plus "coton". Ils sont capables de "tracer" des cachuètes roses, mais de l'Uranium enrichi et du Plutonium... NON!

Un rapport, remis le 8 septembre au gouvernement Etats-Uniens, et établi par une commission en charge de surveiller l'action gouvernementale (GAO), met en avant l'incapacité des Etats-Unis d'Amérique de pouvoir localiser, et ainsi certifier de la "bonne" utilisation, de l'Uranium enrichi et du Plutonium vendu à qui voulait bien en acheter.
Il y aurait une liste de 27 Etats en "affaire" avec les States pour le "recyclage" de ce genre de marchandise. Dont la Chine, l'Ukraine, la Colombie et, tient...?!, l'Iran.
Bon, pour l'Iran le business a cessé en 1974. Mais le MigroData de ces petites barres vitaminées est plutôt coriace...

Je vous donne un chiffre: sur 17'560 kilos d'Uranium enrichi exportés, seulement 1'160 kilos sont "traçables". Cela fait du 6,6%. Et on ne parle pas du Plutonium...
Je suis obligé de vous dire que ce chiffre date de 1993.
Mais aussi de préciser que, selon le rapport du GAO, qui fait quand même 68 pages, la situation n'a pratiquement pas évolué.
Alors, même en étant "Fair-Play" avec Obama, et en lui accordant de doubler voire tripler le pourcentage de "traçabilité" suite à ses efforts, cela fait quand même beaucoup trop de matériel nucléaire non-déclaré qui se promène librement sur notre planète.

Pourquoi z'ont pas pensé à "offrir" un I-Phone à chaque client...!?

NEMo

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